saxophone, claviers Adrien Soleiman, chant Anaïs Aghayan, guitare Adrian Edeline, basse Maxime Daoud, batterie Arnaud Biscay
Hey Djan, qui signifie « salut mon cher, ma chère » en arménien, ce sont cinq musiciens fraîchement réunis pour un voyage entre pop festive et nostalgique. Leur mot d’ordre : revisiter les morceaux traditionnels arméniens. Avec des arrangements résolument modernes, ils réinventent les classiques de cet héritage millénaire pour leur insuffler de nouvelles couleurs.
On se laisse charmer par les mélodies des synthés analogiques, du saxophone et des guitares orientales, soutenues par une rythmique implacable et deux voix qui se complètent, se répondent et fusionnent pour n’en faire plus qu’une. Le résultat : des chansons pleines de vie, d’amour et de gaieté qui donnent une folle envie de danser.
Hey Djan réarrange les chansons de bal et de mariage d’Arménie, apportant ce qu’il faut de folie à un riche répertoire folk mal connu, transformé en machine à danser. Merveilleuse surprise.
Libération