Le Grand Bal

jeudi 07 — 19:00
vendredi 08 — 20:30
danse
durée 1h00
à partir de 12 ans


des effets stroboscopiques peuvent affecter les spectateurs photosensibles

tarif A
plein 20€
réduit 16€
jeune 8€/5€
solidaire 3€
  • interprètes Mounir Amhiln, Charly Bouges, Yohann Daher, Nicolas Grosclaude, Hava Hudry, Beatrice Mognol, Carla Munier, Davide Salvadori, Alice Sundara, chorégraphie Souhail Marchiche, Mehdi Meghari, création musicale Patrick De Oliveira, création lumière Richard Gratas, François-Xavier Gallet-Lemaitre, costumes Hannah Daugreilh, Sandra Bersot, scénographie Hannah Daugreilh, peintre Loïc Niwa, crédit photo Romain Tissot

  • coproduction, soutiens la Compagnie Dyptik, Les Studios Dyptik, Maison De La Danse & Biennale De La Danse De Lyon – Stora Teatern, Goteborg – La Comédie, CDN de St Etienne – Théâtre Des Bergeries, Noisy Le Sec (artiste associé) – IADU La Villette – CCN du Havre, Cie Massala – Théâtre Jean Lurçat, Scène Nationale d'Aubusson – Théâtre De Cusset (artiste associé) – Amman Contemporary Dance Festival – Théâtre Du Parc, Andrézieux-Bouthéon – Domaine De Bayssan, Béziers – Centre Culturel Athena, La Ferté Bernard – L’Avant Seine, Théâtre De Colombes – Sémaphore, Théâtre de la ville d'Irigny – DRAC Auvergne Rhône-Alpes – Conseil Départemental de la Loire – Ville de St Etienne – ADAMI – SPEDIDAM – Conseil Départemental de Seine-St-Denis – Institut Français

Cie Dyptik
Souhail Marchiche, Mehdi Meghari

Dans un monde où les inégalités se creusent, nos corps et nos esprits sont plus que jamais immobiles, sous pression et isolés. Partant de ce constat les chorégraphes Souhail Marchiche et Mehdi Meghari nous présentent une fiction dansante, qui fait écho à la curieuse épidémie de « danse compulsive » de Strasbourg en 1518.

À travers un langage chorégraphique mêlant hip-hop et danses traditionnelles, accompagné par la composition musicale de Patrick De Oliveira, neuf danseurs et danseuses nous entraînent dans un voyage captivant. En solo, en duo ou en groupe, sur un mélange de musiques actuelles et d’airs de la Renaissance, ils explorent les frontières du mouvement et de l'expression corporelle.

Le Grand Bal célèbre la force intérieure qui nous pousse à nous libérer et à renouer avec notre essence profonde. C’est une invitation à se laisser emporter par la danse, où musique et mouvement deviennent des outils de libération. Dans une cérémonie mêlant lumière et obscurité, une transe collective, point culminant du rituel, décidera du destin du groupe, entre fin tragique et rédemption.

Mon corps, immobile depuis trop longtemps, est tiraillé d’une douleur lancinante et profonde. Emprisonné(e) dans cette célébration infernale, je n’ai d’autre issue que danser.  Note d’intention

en coréalisation avec La passerelle, scène nationale de Gap et des Alpes du Sud

Le Grand Bal
Le Grand Bal
Le Grand Bal