chorégraphie Jean-Claude Gallotta, musique Rodolphe Burger, assistante à la chorégraphie Mathilde Altaraz, dramaturgie Claude-Henri Buffard, textiles, couleurs Dominique Gonzalez-Foerster assistée d’Anne Jonathan et de Chiraz Sedouga, scénographie Dominique Gonzalez-Foerster, Manuel Bernard, lumière Manuel Bernard, production musicale Dernière bande, avec Axelle André, Naïs Arlaud, Ximena Figueroa, Ibrahim Guétissi, Georgia Ives, Fuxi Li, Bernardita Moya Alcalde, Jérémy Silvetti, Gaetano Vaccaro, Thierry Verger, Jean-Claude Gallotta, crédit photo Joseph Caprio
production Groupe Émile Dubois / Cie Jean-Claude Gallotta coproduction Théâtre du Rond-Point, Scènes Vosges, Le Manège - Scène nationale de Maubeuge, Le Grand R – Scène nationale La Roche-sur-Yon, Malraux - Scène nationale Chambéry Savoie, L’Archipel - Scène nationale de Perpignan avec le soutien de La MC2 : Grenoble
Le Groupe Émile Dubois / Cie Jean-Claude Gallotta est soutenu par le ministère de la Culture / Direction générale de la création artistique / Direction régionale des affaires culturelles Auvergne-Rhône-Alpes, la Région Auvergne-Rhône-Alpes, le Département de l’Isère et la Ville de Grenoble.
Avec Le Jour se rêve, Jean-Claude Gallotta renoue avec ses sources – New-York, début des années 80, dans les studios de Merce Cunningham – et compose un hommage délicat à cette figure de la danse contemporaine qui aurait cent ans aujourd’hui. Cette pièce pour dix danseurs·seuses est aussi l’occasion de réinterroger la danse de ses débuts, celle qui a fait sa marque de fabrique, l’« abstraction ludique».
Rodolphe Burger, explorateur d’espaces sonores, signe une bande son composée d’ambiances rock, chamaniques, urbaines et rhythm and blues. La plasticienne Dominique Gonzalez-Foerster met les interprètes en lumière et en costumes et créé un univers singulier et chatoyant - académiques aux couleurs vives, tenues scintillantes, masques d’inspiration mexicaine…
Trois tableaux se succèdent, entrecoupés de deux solos du chorégraphe lui-même. Solos, duos, trios et quatuors, mouvements d’ensemble, moments de transe et instants de douceur, telle est la gestuelle libre, joueuse et foncièrement joyeuse de Jean-Claude Gallotta.
Une pièce à l’énergie époustouflante, qui met en avant le mouvement, une danse de l’instant présent.
La chorégraphie de Gallotta convoque la puissance du groupe - pas moins de dix danseurs mus par une énergie ahurissante -, qu’il décline au fil d’interaction sans cesse redistribuées. […]. Ingrédient magique de ce Jour se rêve : les intermèdes poétiques ourdis par Gallotta lui-même. La Croix