L’Oiseau Vert
mercredi 05 — 19:00
création
-
avec Salim-Eric Abdeljalil, Raphaël Bocobza, Johanna Bonnet, Pascal Henry, Antoine Laudet, Tamara Lipszyc, Kristof Lorion, Catherine Monin, mise en scène Agnès Régolo, adaptation texte Agnès Régolo, Catherine Monin, musique Guillaume Saurel, lumières, scénographie Erick Priano, costumes Christian Burle, chorégraphie Georges Appaix, chargé de production-diffusion Timothé Logé, crédit photo Cie du Jour au Lendemain
-
production Compagnie Du Jour au Lendemain, coproductions Théâtre Durance Scène nationale, Château-Arnoux-Saint-Auban – Théâtre du Jeu de Paume, Aix-en-Provence – Théâtre d'Arles, Arles – Théâtre National de Nice, Nice – Scènes et Cinés, Istres, soutiens DRAC PACA, Région SUD PACA, Département des Bouches-du-Rhône, le Pôle Arts de la Scène - Friche La Belle de Mai, Ville de Marseille, Fonds d'aide à la création, artistique pour le spectacle vivant - Ville d'Aix en Provence, résidences Domaine Départemental de l'Etang des Aulnes, L'Atelier - Arsud, Théâtre du Jeu de Paume - Aix-en-Provence
À la fois conte de fées et comédie, L’Oiseau Vert s’inspire des pires travers de l’être humain. Écrit par Carlo Gozzi en 1765, cette fable drôle et brutale suit le destin de Renzo et Barbarina, deux jumeaux à la recherche de leur identité qui affrontent avec une irrésistible vitalité un monde sinistre et menaçant.
Âgés de 18 ans, les jumeaux sont abandonnés par leurs parents adoptifs. En même temps, au palais, le roi Massimo revient d’une longue guerre, la reine survit cachée sous un évier de cuisine grâce à l’aide d’un oiseau vert et la perfide grand-mère, mère du roi cherche à tuer les héritiers du trône, Renzo et Barbarina.
Agnès Régolo réunit huit comédien·ne·s pour mettre en scène ce récit initiatique. La scénographie lumineuse et épurée, véritable hymne à l’imagination enchantent les épisodes surnaturels et truculents de nos deux héros.
Entre onirisme et fantaisie, la pièce aborde les conflits familiaux, la cupidité du genre humain, son aveuglante soif de puissance mais aussi ses possibles métamorphoses. C’est la promesse d’un spectacle heureux qui croit à notre capacité à réenchanter le monde.
