J'abandonne une partie de moi que j’adapte

jeudi 05 — 21:00
durée 1h10
à partir de 15 ans

report

tarif A
plein 20€
réduit 16€
jeune 8€/5€
solidaire 3€
  • conception, mise en scène Justine Lequette, écriture collective avec Rémi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puibaraud, Léa Romagny, assistanat à la mise en scène Ferdinand Despy, création lumière Guillaume Fromentin, régies Jacques Perera, Jeison Pardo Rojas, John Ludovic

  • Le spectacle J’abandonne une partie de moi que j’adapte inclut des extraits de la pièce Je te regarde d’Alexandra Badea, représentée et publiée dans son intégralité par L’Arche Editeur. www.arche-editeur.com
    textes des films Attention Danger Travail et Volem Rien Foutre al pais réalisés par Pierre Carles, Christophe Coello et Stéphane Goxe et produits par C-P Productions
    textes et images du film documentaire Chronique d’un été, réalisé par Jean Rouch et Edgar Morin et produit par Argos films, lauréat du prix du public impatience 2018
    production création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelles 17/18
    coproduction Group Nabla
    avec le soutien de L’ESACT, La Chaufferie-Acte1, Festival de Liège, Eubelius & Wallonie-Bruxelles International
    remerciements particuliers Nathanaël Harcq, Annah Schaeffer, Astrid Akay et Jo De Leuw

Théâtre National Wallonie-Bruxelles
Justine Lequette

J’abandonne une partie de moi que j’adapte… Après l’expérience vécue ces derniers mois par chacun et chacune d’entre nous, comment ne pas reprogrammer ce spectacle qui aborde, de manière à la fois poétique et politique, la question du travail et plus encore du bonheur. Leur point de départ : Chronique d’un été, film de Jean Rouch et Edgard Morin, exploration documentaire de la notion de bonheur, sorti en 1960.

Profondément marqués par ce film, Justine Lequette et ses acolytes en reprennent les questions-clés, adressées à des passants, étudiants, ouvriers, employés ou immigrés. Ces questions, qui portent sur le travail, le bonheur mais aussi la vie, les utopies, ils se les posent aujourd’hui. Et elles résonnent de manière plus vivace encore maintenant.

Dans une esthétique réaliste, mais qui prend toujours une dimension ludique, ils mettent les deux époques en perspective. Du cinéma-vérité des années soixante, nous glissons vers le théâtre, un théâtre contemporain et facétieux porté par cinq jeunes comédiens d’une grande justesse. Ils s’interrogent et nous interrogent. C’est quoi le monde dans lequel nous vivons ? Et si nous faisions le pari de la confiance en l’intelligence humaine ? Une réappropriation drôle et brillante.


C’est fin, c’est rythmé, très inventif. Jouissif. 
Médiapart


J'abandonne une partie de moi que j’adapte
J'abandonne une partie de moi que j’adapte